La première étape pour la production en 2,5D est de séparer l’image en plans distincts. Cela grâce un logiciels de retouche d’images. Les objectifs de l’augmentation doivent rester clairs. Il n’est pas possible de séparer tous les éléments d’un tableau. Ces derniers doivent rester le plus distinct des uns des autres possible et être logiques de manière à représenter leur profondeur naturelle. Il peut donc y avoir un ou éventuellement deux éléments dans un groupe (par exemple, une statue avec son ombre). Ces derniers doivent rester le plus distinct des uns des autres possible et être logiques de manière à représenter leur profondeur naturelle.
Photoshop est utilisé par les services de production de WallMuse.
Le processus consiste à séparer individuellement par des calques les éléments qui se trouvent au premier plan. I l est possible d’utiliser l’outil « ciseaux intelligents » mais dans certains cas, ils ne sont pas assez précis.
Les calques ne doivent pas comporter d’espace vide pour que lorsque la caméra se déplace au sein d’un tableau, il n’y ait pas de rupture entre les éléments. Par exemple, si le mouvement d’une caméra est centrée sur une statue disposée sur un sol rouge encadrée par des bâtiments et le ciel, il est possible qu’à un moment, il existe une discontinuité entre ces éléments. Pour éviter cet écueil, l’outil « pièce » de Photoshop permet d’ajouter de nouvelles parties en fonction de celles environnantes déjà existantes.
Cette procédure consiste à faire des test et d’apporter des perfectionnements. En moyenne, 5% des parties internes des filtres doivent être corrigés. C’est un exercice précis et complexe. Dans un prochain temps, il est prévu d’améliorer et d’étendre certains « patchs » en fonction des besoins.
Eviter d’altérer la perception originelle en créant le parallaxe/2,5D
Animer un tableau peut permettre de le mettre en lumière et de le rendre plus dynamique mais cela doit rester conforme par rapport à l’œuvre originale, à moins que ce ne soit un choix de l’artiste lui-même.
WallMuse intègrera par la suite ces éléments directement dans son Player pour les membres SHAREX comme un service.
La transformation des images obtenue grâce aux calques puis au mouvement de la caméra peut être vérifiée par rapport à l’original à différents stades du processus d’animation. Le début ou la fin de l’animation doivent correspondre à l’image originelle, de sorte qu’il ne doit pas être constaté de grands changements lors du mouvement de la caméra pendant l’animation.